A propos

 

Kodiak est né de la convergence de nos passions pour l’aventure, la nature et la chasse et de notre attrait pour les belles choses.

La Chasse par amour de la Nature et nécessité de conservation

Quand les revenus de la Chasse profitent directement aux communautés locales, les autochtones commencent à se soucier de la conservation de la faune, de la préservation de son habitat et de la nécessité cruciale de les gérer de manière durable. En Asie Centrale, par exemple, ce système a sauvé le markhor de l'extinction, et en Afrique, il sauve actuellement de nombreuses espèces, même si ce fait est ignoré par ceux qui croient que l'abolition de la Chasse contribuerait à sauver les espèces animales.

Ceux-ci vantent par exemple la pseudo-réussite du canton de Genève en Suisse, dit “sans Chasse”. Mais l’argument est biaisé, car cette dernière, preuve de sa nécessité, y est maintenue, simplement réalisée par des agents payés aux frais du contribuable. Pire encore, pour de nombreuses espèces, la biodiversité dans le canton de Genève n’a jamais été aussi basse. Les effectifs de perdrix grises ont ainsi chuté de plusieurs milliers à une cinquantaine d’oiseaux nicheurs pour ce seul canton, les plus faibles densités de perdrix ayant été observées plusieurs décennies après la fermeture de la Chasse en 1974. La raison principale étant la destruction de l’habitat et l’explosion de la prédation, consécutive à l’interdiction de la Chasse. Si des programmes de réintroduction et de conservation (financés en grande partie par des organisations de chasseurs: CIC, Diana Suisse,...) tentent de maintenir le reliquat de population, cette baisse de la biodiversité observée à Genève est bel est bien une des conséquences directes du retrait des chasseurs, passionnés de Nature et d’animaux, qui auparavant redoublaient d’efforts pour préserver ce qui a toujours été et dont ils souhaitaient continuer à profiter. Qui s’implique vraiment pour la préservation des espèces et des habitats si ce n’est les personnes dont la passion mène à pratiquer chaque semaine voire chaque jour ces enjeux ?

Un autre exemple tragique de l’abolition de Chasse est l’affaire des bouquetins du Bargy, dans les Alpes Françaises. Ces animaux, rendus non-chassables, outre le fait d’avoir perdu toute leur noblesse en devenant des créatures d’apparat venant manger dans la main des promeneurs, ont été décimés par les services de l’Etat. En effet, sans le mixage génétique et la régulation qu’une prédation raisonnés génère, les bouquetins affaiblis et confinés, furent victime d’une épidémie – potentiellement transmissible au bétail - et furent massivement abattus par des Hommes qu’ils avaient arrêtés de craindre. La prédation aurait empêché cela, en générant d’avantages de brassage dans les populations et en éliminant les animaux les plus faibles.  

S’il apparait donc que la prédation est nécessaire, elle doit être de nos jours plus que jamais réfléchie et contrôlée, car l’Homme a profondément modifié son milieu. L’action des grands prédateurs sauvages, qui constitue une solution viable dans les étendues vierges de Sibérie ou du Canada ou dans la France du moyen-âge, est à présent, dans notre Nature morcelée, catastrophique pour la faune et les activités traditionnelles.
Ces théories sur la nécessité de la Chasse et son rôle dans la conservation sont mises en lumières par divers naturalistes et scientifiques, ailleurs dans le monde. Comme par exemple en Afrique où d’immenses réserves de Chasse, abritent encore une rare biodiversité protégée du braconnage et de la destructrice pression humaine, par les fonds générés par la Chasse.

Alors pourquoi la Chasse ?

Si l’argument de la régulation est souvent mis en avant, à raison, je ne crois pas que ce soit la vocation de servir de gendarmes de la Nature qui nous pousse à chasser. 
L’Homme, comme d’autres animaux, chasse par instinct, par nécessité, par plaisir. Il maintient par là son rôle crucial dans la chaine animale dont il a toujours fait partie. Il chasse par amour, par fascination et par passion. Il chasse pour se nourrir de manière éthique, et il a l’intelligence de gestion que n’auront jamais les loups ou autres grands prédateurs réintroduits dans nos campagnes marquées par des siècles de présence humaine. Il ne chasse jamais pour détruire ou faire souffrir, comme croient à tort ceux qui renient ces réalités naturelles.

L’humanité de nos jours a perdu tout rapport avec la Nature, et donc avec l’origine et surtout la fin des choses : la mort. Dès le plus jeune âge, les dessins animés ont imprimé dans les esprits une vision erronée de la Nature et des “mignons petits animaux”. L’Homme est plus que jamais urbain et s’offre au mieux des promenades dominicales au cours desquelles il croit côtoyer le milieu sauvage. De là émergent les courants dits “antispécistes” qui réinventent la Nature, et à coup d’un marketing massue (les fonds qu’ils collectent servent leur lobbying violent, mais ne finissent quasiment jamais dans la protection effective des animaux) font migrer la société vers un nouveau système de valeurs. Ainsi la mort d’un animal, qui, du temps de nos grands-parents encore, faisait partie du quotidien, est aujourd’hui unanimement perçue comme négative. Il est donc incompatible d’aimer les animaux et parfois, d’ailleurs, non sans émotions, d’en tuer un. Pourtant il est évident qu’aucune haine pour les animaux entraîne les chasseurs... au contraire. Ces derniers sont d’ailleurs très largement représentés chez les vétérinaires, profession dans laquelle l’amour des animaux est une évidence.

Alors aux êtres en qui le lien primaire nous rattachant à cet ensemble indivisible qu’est la Nature a disparu, dont les cohortes aveugles sont en inquiétante expansion, et qui, par leur méconnaissance et leurs fantasmes sont les véritables destructeurs inconscients de la biodiversité, je dis : “pauvre de vous... qui ne différenciez sûrement pas un chevreuil d’un cerf, un bolet d’une chanterelle, qui n’avez aucune idée de la dynamique d’une harde de chamois ou des conséquences du dérangement hivernal sur les populations de tétras-lyres, vous ne vivrez jamais ce que peut être une passion et toutes les choses magiques qu’elle conduit, émerveillé, à observer”.

Rémy Bailloux

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Conception

Pour nous un voyage est un rêve et nous voulons rendre les rêves accessibles.

Nous concevons nos séjours basés sur les rencontres et l’expertise acquises à force d’expériences, d’heures de prospection, de dialogues et de recherches...

C’est ainsi que nous proposons ce que nous connaissons et ce qui nous correspond, organisant chaque voyage comme s'il se fut agit du nôtre, et ne traitant qu'avec les meilleurs partenaires.
Tout simplement.

Découverte

Nous sommes animés par une vision simple et saine, empreinte de connaissances et de respect pour la nature et ceux qui la peuplent.

Si, à travers les cultures, la chasse se décline en pratiques variées, ces valeurs et cette vision écologique de l'activité nous rapprochent du montagnard des vallées autrichiennes, du stalker écossais ou du coureur des bois canadien.
Curieux de découvrir leurs environnements et leurs habitudes, nous offrons à nos clients la possibilité de goûter à ces usages différents.

Ainsi, loin du superflu, nous privilégions le rapport humain direct, la qualité de la chasse, et une expérience la plus fidèle possible à la pratique locale.

Confiance

Depuis quelques temps déjà, nos clients nous font confiance et adhèrent à notre vision pour organiser leurs plus beaux rêves à la carte - sur plusieurs continents.

Nos années de prospection nous ont permis d'établir de précieux contacts.
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Rémy Bailloux, créateur

Rémy Bailloux, créateur