Tadjikistan: Expédition grands sangliers de montagne
Le sud du Tadjikistan offre un habitat incomparable aux sangliers. Comme l'espèce est quasiment ignorée par les locaux et que nos zones bénéficient d'une très faible pression de chasse, il n'est pas rare d'y rencontrer de très grands animaux. Les défenses des sangliers dépassent régulièrement les 22-23 cm. Des loups (possibilité de les chasser si permis demandés à l'avance) sont aussi présents sur les zones.
Les trophées sont préparés sur place et rentrent en soute avec les chasseurs.
Chasse aux sangliers tadjiks, Septembre à Mars
7 nuits, 5 Jours de chasse - a partir de 2960 euros par chasseur
Pour groupes de 2 à 4 chasseurs
L'offre comprend:
- Réception aéroport (Douchanbé), et tous les transports sur place
- Chasse avec guide tadjik
- Un sanglier sans limite de taille
- Hébergement au camp de chasse et tous les repas sur place
- Service d'interprète/traducteur
- Permis et taxes
- Formalités d’importation des armes
- Première préparation des trophées et certificats vétérinaires
Programme type :
J1 : Départ d'Europe via Istanbul
J2 : Arrivée à Douchanbé le matin, transfert vers la zone de chasse
J3-J4-J5-J6-J7 : Chasse aux sangliers (possibilité de faire un jour supplémentaire de chasse)
J8 : Transfert vers Douchanbé
J9 : Vol retour vers l'Europe, arrivée dans la journée
Non Compris :
- Billet d’avion pour Douchanbé (via Istanbul avec la compagnie Turkish Airlines)
- Hall VIP à l’aéroport (recommandé avec les armes) : 100 euros
- Pourboires
- Repas et nuit d’hôtel à Douchanbé
- Visa (l’organisateur prête assistance aux consommateurs pour l’obtention des visas)
- Tir de sangliers additionnels : entre 200 et 1000 $ par sanglier
- Présence d'un accompagnant de l'agence
Notre partenaire tadjik est un scientifique: biologiste, passionné de conservation, qui a mis en place depuis 2008 un programme où la chasse soutient directement des projets de conservation qui a été récompensé en 2014 par le Markhor Award pour la biodiversité et la conservation du CIC. Une grande partie des fonds dégagés par la chasse revient aux villageois, les motivant ainsi à préserver les animaux et à lutter contre le braconnage ou toute forme de chasse non durable. Le reste contribue à soutenir le travail des scientifiques, rangers et guides locaux.
